La Kona Electric fait partie des innovations de Hyundai dans le domaine de l’électromobilité. Elle a été lancée dans le cadre de l’offensive du constructeur dans cette révolution électrique qui atteint l’industrie automobile.
Un des principaux points forts de ce SUV est qu’il se décline en plusieurs autonomies et qu’il accepte différentes recharges dont la Wallbox.
Hyundai Kona Electric : le SUV dans l’air du temps
En 2017, la Hyundai Kona fait ses premiers tours de roue. Il faudra attendre un an après pour que la version électrifiée fasse son apparition sur le marché. La Kona Electric se veut aussi sophistiquée et élégante que son homologue thermique. Plus élancée et épurée que jamais, elle captive par ses nouveaux feux LED, ses formes fluides et ses lignes sportives qui lui procurent une aura tout à fait irrésistible. À l’extérieur comme à l’intérieur, les utilisateurs ont droit au nec plus ultra. Le véhicule s’illustre pour sa polyvalence et sa praticité en s’équipant entre autres d’une transmission à commande électrique, de la climatisation automatique, des sièges chauffants ou encore d’un grand confort à l’arrière. Il donne également le meilleur avec sa connectivité en proposant par exemple un immense écran de 10,25 pouces prenant en charge Android Auto et Apple CarPlay. En matière de sécurité et d’assistance au conducteur, les derniers équipements sont au rendez-vous tels que la surveillance active des angles morts, l’alerte de circulation transversale arrière, le régulateur de vitesse adaptatif ou encore le freinage d’urgence autonome.
Les solutions de recharge de la Kona Electric
Le détail qui plaît le plus avec la Kona Electric est qu’elle propose deux versions avec des autonomies différentes. Le modèle basique équipé d’une batterie de 39,4 kWh offre une autonomie de 289 km en cycle WLTP tandis que la version Long Range est munie d’une batterie de 64 kWh qui peut parcourir jusqu’à 449 km en une seule charge.
Concernant la recharge, le SUV coréen est équipé d’un câble de recharge autorisant une puissance de 7,4 kW en alimentation monophasée. En option, il est possible de disposer d’un chargeur 11 kW en triphasé. Pour pouvoir recharger le véhicule avec une borne à domicile, il est donc conseillé d’opter pour une borne de 7,4 kW. Un délai de 9h15 est nécessaire pour récupérer 80% de l’énergie à travers cette solution. Si l’utilisateur opte pour le chargeur triphasé 11 kW, le temps de recharge passe à 6h50. L’installation d’une borne de recharge doit idéalement être confiée à des professionnels certifiés IRVE. De toute façon, dès que la puissance de la Wallbox dépasse 3,7 kW, la loi impose que la pose soit exécutée par une entreprise spécialisée et agréée. Se conformer à cette exigence légale constitue aussi un moyen pour les automobilistes de profiter des diverses aides et subventions accordées par l’État ou les collectivités.
Bien que la recharge des véhicules électriques se fait habituellement à domicile, il arrive aussi que les utilisateurs aient besoin de récupérer quelques kilomètres d’autonomie lorsqu’ils se retrouvent dehors : dans un centre commercial, à leur bureau, au supermarché, etc. Pour cela, ils peuvent brancher leur SUV électrique sur une borne rapide de 100 kW à courant continu qui recharge la batterie à 80% en seulement 47 minutes. Ce délai passe à 64 minutes lorsque la recharge est réalisée sur une borne de 50 kW.
Bonne nouvelle : toujours dans cette volonté de faciliter le quotidien des utilisateurs, la Kona Electric propose un système avancé de gestion de la batterie. Grâce à la charge programmable, le conducteur a la possibilité d’être informé en temps réel du temps de charge restant et peut choisir son temps de charge selon son budget et sa disponibilité.
Le freinage à récupération d’énergie de la Kona Electric
Comme tout véhicule électrique de dernière génération, la Kona Electric s’équipe d’une batterie de technologies ayant pour mission d’optimiser au maximum l’autonomie du véhicule. Un des systèmes disponibles sur le SUV figure la récupération d’énergie au cours des phases de décélération. Il est possible de régler en trois niveaux de puissance la force de freinage en utilisant des palettes qui ont été intégrées dans le volant. Avec le troisième niveau, il devient même inutile d’appuyer sur le frein pour que la voiture s’arrête. La technologie a l’avantage d’alimenter la batterie en énergie électrique. En apprenant à utiliser ce freinage moteur automatique, les utilisateurs gagnent davantage d’autonomie. Il existe beaucoup d’autres astuces qui peuvent être efficaces et utiles pour optimiser l’autonomie. Une d’entre elles consiste à réduire au maximum le chauffage qui est très énergivore. À la place, le conducteur peut utiliser le siège chauffant pour gagner en chaleur. Sur la route, il est préférable d’opter pour des trajets en ville sans dénivelés, car sur autoroute, l’autonomie diminue. De plus, l’automobiliste doit impérativement vérifier la pression des pneus étant donné qu’un sous-gonflage est considéré comme un responsable de la baisse d’autonomie.